Sainte Faustine Kowalska
Les miracles Eucharistiques
Dans le "Petit Journal", Sainte Faustine raconte qu'elle a vu Jésus vivant dans l'Hostie.
- Pendant la messe de minuit, j'ai vu l'Enfant Jésus dans l'Hostie,
mon esprit s'est abîmé en Lui. Bien que petit Enfant, sa majesté
submergeait mon âme. J'étais profondément pénétrée par ce mystère, ce
grand abaissement de Dieu, Son inconcevable anéantissement. Ce sentiment
resta vivant dans mon âme pendant la durée des fêtes. (182)
- On a chanté les litanies du Très Doux Cœur de Jésus. Le Seigneur Jésus était exposé dans l'ostensoir, et au bout d'un moment, je vis le Petit Jésus sortir de l'Hostie, et venir Lui-même reposer dans mes bras. Cela dura un court instant. Une grande joie inonda mon âme. L'enfant Jésus avait la même apparence qu'au moment où je suis entrée dans la petite chapelle avec la mère supérieure.... (405-406)
- Pendant l'Office des quarante heures, j'ai vu la face de Jésus dans la Sainte Hostie exposée dans l'ostensoir. Jésus regardait tout le monde avec bienveillance.
Je vois souvent l'Enfant Jésus pendant la sainte messe.
Il est extrêmement beau et paraît avoir à peu près un an. Quand un
jour, dans notre chapelle, je vis ce même Enfant pendant la sainte
messe, un désir fou et une envie irrésistible me prirent de m'approcher
de l'autel et de prendre dans mes bras l'Enfant Jésus. Or à ce moment,
l'Enfant Jésus vint près de moi, près de mon prie-Dieu et de Ses deux
petites mains Il s'appuya sur mon épaule -gracieux et joyeux, le regard
profond et pénétrant. Cependant quand le prêtre rompit l'Hostie, Jésus
revint sur l'autel et Il fut rompu et consommé par ce prêtre...
(433-434)
- Le dernier soir de la neuvaine à Ostra Brama, après le chant des litanies, un des prêtres apporta le Saint Sacrement dans l'ostensoir ; quand il le posa sur l'autel, je vis aussitôt l'Enfant Jésus élever ses petites mains vers Sa Mère qui avait alors une forme vivante. Quand la Sainte Vierge me parla, Jésus tendit
Ses menottes vers les fidèles réunis. La Mère de Dieu me parla -Jésus
tendit Ses petites mains vers les fidèles réunis. La Très Sainte Mère me
disait d'accepter toutes les demandes de Dieu comme un enfant, sans
approfondir.........» (529)
- Aujourd'hui, alors que je recevais la sainte Communion, j'ai remarqué dans le calice une Hostie vivante qui me fut donnée par le prêtre.
Quand je revins à ma place, j'ai demandé au Seigneur : Pourquoi l'une
est-elle vivante ? Puisque Tu es vivant de la même façon sous toutes les
espèces ?
Le
Seigneur m'a répondu : C'est exact, sous toutes les espèces je suis le
même, mais toutes les âmes ne me reçoivent pas avec une foi aussi
vivante que la tienne, ma fille, et c'est pourquoi je ne peux agir en
leur âme, comme en la tienne.
La Sainte messe que célébrait l'abbé Sopocko. J'y étais présente et pendant cette messe, j'ai vu le petit Jésus
qui, touchant du doigt le front de ce prêtre, m'a dit : Sa pensée est
étroitement unie à ma pensée, sois donc sans crainte pour ce qui est de
mon œuvre je ne le laisserai pas se tromper, et toi ne fais rien sans
son autorisation - emplissant mon âme d'une grande tranquillité pour
l'ensemble de cette œuvre. (1407-1408)
- Puis, tout à coup, j'ai vu sortir de la sainte Hostie ces deux rayons tels qu'ils sont peints sur ce tableau,
et ils se répandirent sur le monde entier. Ce ne fut qu'un moment, mais
cela sembla durer toute la journée, et notre chapelle fut surpeuplée
toute la journée, et toute cette journée fut remplie de joie.
Et tout à coup je vis sur notre autel le Seigneur Jésus vivant,
et sous le même aspect qu'Il a sur le tableau. J'ai cependant senti que
les sœurs et tous ces gens n'avaient pas vu le Seigneur Jésus, tel que
je le vois. Jésus regarda avec une si grande bienveillance et allégresse
le Saint Père, et certains prêtres et tout le clergé, et le peuple et
notre Congrégation.
Je
fus ensuite enlevée dans la proximité de Jésus et je me tins debout sur
l'autel à côté du Seigneur Jésus, et mon esprit fut rempli d'un immense
bonheur que je ne suis pas en état de concevoir ni de décrire. La
profondeur de la paix et de la quiétude submergeait mon âme. Jésus se
pencha vers moi et me demanda avec bienveillance : Que désires-tu ma
fille ? Et je répondis : Je désire gloire et vénération pour Ta
miséricorde. Je suis déjà honoré par l'institution et la célébration de
cette fête ; que désires-tu encore ? Et j'ai regardé cette immense foule
qui rendait hommage à la miséricorde divine, et j'ai dit au Seigneur :
Jésus, bénis tous ceux qui sont réunis pour Te vénérer, pour vénérer Ton
infinie miséricorde. Jésus traça de la main le signe de la sainte croix
; cette bénédiction se réfléchit sur les âmes par un trait de lumière.
Mon esprit a sombré dans Son amour, et je sens comme si j'étais
dissoute en Dieu et avais disparu en Lui. Quand je revins à moi, une
paix profonde submergeait mon âme, et une étrange compréhension de bien
des choses que je ne comprenais pas avant se transmit à mon esprit.
(1047-1048)
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