J'ai recours à votre Miséricorde, Dieu clément, qui seul êtes bon (Mat. 19, 17).
Malgré
ma grande misère et mes innombrables fautes, j'ai confiance en votre
Miséricorde, parce que Vous êtes "le Père des miséricordes et le Dieu de
toute consolation" (2 Cor. 1, 3). On n'a jamais entendu dire, et ni le
Ciel ni la terre ne s'en souviennent, qu'une âme confiante en votre
Miséricorde ait été abandonnée.
O
Dieu de pitié, Vous seul pouvez me justifier ; Vous ne me rejetterez
pas, chaque fois que je me rendrai, contrit, à votre Cœur Miséricordieux
où nul n'a connu de refus, si grand pécheur fût-il. O doux Sauveur,
puisque Vous-même avez promis que le Ciel et la terre retourneraient
dans le néant plutôt qu'une âme confiante ne dût éprouver votre
Miséricorde, faites qu'aucune âme qui s'approche de vous ne parte sans
avoir obtenu pardon, consolation et nouvelles grâces en abondance.
O
Christ, mon délice le plus grand, c'est de voir que Tu es aimé, que
l'honneur et la gloire de Ton Nom retentissent, surtout la gloire de Ta
miséricorde, O Christ, jusqu'au dernier instant de ma vie, je ne
cesserai de glorifier Ta Bonté et Ta Miséricorde.
Chaque goutte de sang, chaque battement de mon cœur glorifient Ta Miséricorde.
Je désire être toute entière un hymne qui Te glorifie.
Et
lorsque je serai sur mon lit de mort, que le dernier battement de mon
cœur soit un hymne d'amour glorifiant Ton infinie Miséricorde.
O Dieu, dont la Miséricorde excelle en toutes vos œuvres,
je
Vous remercie des innombrables et extraordinaires grâces que Vous avez
daigné accorder à votre servante, Sœur Faustine, et en particulier pour
que la révélation de votre infinie Miséricorde que Vous désirez
répandre, dans la grave situation des temps présents, sur chaque âme et
sur toute l'humanité accablée et égarée.
Je
Vous le demande avec une grande confiance, daignez me manifester ainsi
votre Miséricorde et, si cela n'est pas contraire au bien de mon âme,
accordez-moi la grâce
de................................................qui me tient tant à
cœur.
Faites-le
par les mérites et l'intercession de Sœur Faustine, que Vous avez voulu
choisir pour être la confidente et l'apôtre de Votre Miséricorde.
Et
puisque votre Miséricorde n'a pas de limites, je Vous supplie aussi par
l'intercession de Sœur Faustine, entourez de votre Miséricorde notre
patrie bien-aimée, et préservez-la de tout danger.
Faites que nous demeurions fidèles à Votre Fils et à la Sainte Église Catholique.
Amen.
Pater... Ave... Gloria....
(A réciter 9 jours de suite, accéder aux sacrements)
O
mon Jésus, je ne chercherai qu'à procurer l'honneur et la gloire à
Votre Saint Nom par la prière, le travail et le combat jusqu'au jour où
Vous me direz : tu as accompli ta mission.
Je
tâcherai de secourir chacune des âmes, que Vous m'avez confiées, ô
miséricordieux Sauveur, par la prière et le sacrifice, afin que Vous
puissiez y faire fructifier les grâces. O mon Jésus, grand ami des âmes,
je Vous rends grâce pour cette grande confiance que Vous avez en moi,
en daignant confier ces âmes à mes soins.
Oh, comme ces jours de travail et de vie quotidienne monotone me seront précieux !
Chaque
instant, en effet, m'apporte de nouvelles grâces et me donne la
possibilité de faire le bien à tous les hommes de bonne volonté. O bon
Jésus, faites qu'aucun ne se perde de ceux dont Vous m'avez confié le
soin (Jean, 17, 12).
O
Mon Jésus, je Vous supplie, accordez à Votre Église l'amour et la
lumière du Saint Esprit ! Donnez à Vos prêtres cette force, qui fera
revenir à Vous, doux Seigneur, les cœurs les plus endurcis. Donnez-nous
de saints prêtres et maintenez-les Vous-même dans la sainteté !
O
Divin Prêtre Suprême, faites que la puissance de Votre Miséricorde les
assiste partout et les protège contre les embûches et les pièges de
l'enfer, qu'il ne cesse de tendre à l'âme de chaque prêtre. Puisse la
puissance de la Miséricorde Divine, ô bon Sauveur, écraser et anéantir
tout ce qui pourrait tacher la sainteté d'un prêtre, car Vous êtes
vraiment Tout-Puissant !
Seigneur, voici une âme qui est au monde pour exercer votre admirable miséricorde, et pour la faire éclater en présence du Ciel et de la terre. Les autres vous glorifient en faisant voir quelle est la force de votre grâce, par leur fidélité et leur constance, combien vous êtes doux et libéral envers ceux qui sont fidèles ; pour moi, je vous glorifierai en faisant connaître combien vous êtes bon envers les pécheurs et que votre miséricorde est au-dessus de toute malice, que rien n'est capable de l'épuiser, que nulle rechute, quelque honteuse et criminelle qu'elle soit, ne doit porter un pécheur au désespoir du pardon. Je vous ai grièvement offensé, ô mon aimable Rédempteur ; mais ce serait bien encore pis, si je vous faisais cet horrible outrage de penser que vous n'êtes pas assez bon pour me pardonner. C'est en vain que votre ennemi et le mien me tend tous les jours de nouveaux pièges ; il me fera tout perdre plutôt que l'espérance que j'ai en votre miséricorde ; quand je serais retombé cent fois plus, et que mes crimes seraient cent fois plus horribles qu'ils ne sont, j'espérerais encore en vous. Ainsi soit-il. (Par le Bienheureux de La Colombière)
Seigneur, voici une âme qui est au monde pour exercer votre admirable miséricorde, et pour la faire éclater en présence du Ciel et de la terre. Les autres vous glorifient en faisant voir quelle est la force de votre grâce, par leur fidélité et leur constance, combien vous êtes doux et libéral envers ceux qui sont fidèles ; pour moi, je vous glorifierai en faisant connaître combien vous êtes bon envers les pécheurs et que votre miséricorde est au-dessus de toute malice, que rien n'est capable de l'épuiser, que nulle rechute, quelque honteuse et criminelle qu'elle soit, ne doit porter un pécheur au désespoir du pardon. Je vous ai grièvement offensé, ô mon aimable Rédempteur ; mais ce serait bien encore pis, si je vous faisais cet horrible outrage de penser que vous n'êtes pas assez bon pour me pardonner. C'est en vain que votre ennemi et le mien me tend tous les jours de nouveaux pièges ; il me fera tout perdre plutôt que l'espérance que j'ai en votre miséricorde ; quand je serais retombé cent fois plus, et que mes crimes seraient cent fois plus horribles qu'ils ne sont, j'espérerais encore en vous. Ainsi soit-il. (Par le Bienheureux de La Colombière)
O
Jésus, ne me laissez pas seule dans la souffrance ! Vous connaissez,
Seigneur, ma faiblesse : je ne suis qu'un abime de misère, je ne suis
qu'un néant ; qu'y aura-t-il d'étonnant si, lorsque Vous me laissez
seule, je tombe ? Je suis impuissante, Seigneur ; je ne sais pas me
conduire seule, mais en tout abandon, j'ai confiance et malgré ce que je
ressens, j'ai gardé la confiance et je concentre tous mes sentiments
dans une entière et absolue confiance en Vous.
Ne diminuez en rien mes souffrances, mais donnez-moi seulement la force de les supporter. Faites de moi ce qu'il Vous plaira.
Donnez-moi
seulement la grâce de savoir Vous aimer dans toutes les circonstances
de ma vie. Ne diminuez pas, Seigneur, le calice d'amertume, mais
donnez-moi uniquement le courage de le boire jusqu'à la lie !
Voici la prière du Pape François pour le jubilé de la Miséricorde qui commence pour la fête de l’Immaculée Conception le 8 décembre 2015 et se terminera à la solennité du Christ Roi le 20 novembre 2016.
« Seigneur
Jésus-Christ, Toi qui nous a appris à être miséricordieux comme le Père
céleste, et nous a dit que Te voir, c’est Le voir : montre-nous ton
Visage, et nous serons sauvés.
Ton
regard rempli d’amour a libéré Zachée et Matthieu de l’esclavage de
l’argent, la femme adultère et Madeleine de la quête du bonheur à
travers les seules créatures ;
Tu as fait pleurer Pierre après son reniement, et promis le paradis au larron repenti.
Fais que chacun de nous écoute cette Parole dite à la Samaritaine comme s’adressant à nous : « Si tu savais le don de Dieu ! »
Tu
es le Visage visible du Père invisible, du Dieu qui manifesta sa
toute-Puissance par le Pardon et la Miséricorde : fais que l’Église
soit, dans le monde, ton Visage visible, Toi son Seigneur ressuscité
dans la gloire.
Tu
as voulu que tes serviteurs soient eux aussi habillés de faiblesse pour
ressentir une vraie compassion à l’égard de ceux qui sont dans
l’ignorance et l’erreur : fais que quiconque s’adresse à l’un d’eux se
sente attendu, aimé, et pardonné par Dieu.
Envoie
ton Esprit et consacre-nous tous de son onction pour que le Jubilé de
la Miséricorde soit une année de grâce du Seigneur, et qu’avec un
enthousiasme renouvelé, ton Église annonce aux pauvres la bonne nouvelle
aux prisonniers et aux opprimés la liberté, et aux aveugles qu’ils
retrouveront la vue.
Nous
Te le demandons par Marie, Mère de la Miséricorde, à Toi qui vis et
règnes avec le Père et le Saint Esprit, pour les siècles des siècles.
O
Jésus, étendu sur la Croix, accordez-moi la grâce de toujours, partout
et en toute chose, accomplir fidèlement la sainte volonté de Votre Père ;
et lorsqu'il m'en coûtera beaucoup, je Vous implore. O Jésus, faites
jaillir sur moi, de Vos plaies, le courage et la force, afin que les
lèvres répètent : Seigneur, que Votre volonté soit faite ! O Rédempteur
du genre humain, qui nous avez aimés jusqu'à mourir pour notre salut et
qui, dans les souffrances et les tourments de Votre agonie, Vous oubliez
pour ne penser qu'à sauver nos âmes; ô Très Miséricordieux Jésus,
accordez-moi la grâce de m'oublier moi-même, afin que je ne vive que
pour les âmes. Vous aidant ainsi dans l'œuvre de la Rédemption selon la
très sainte volonté de Votre Père Céleste.
O
mon Jésus, divin Captif d'amour, lorsque je médite l'amour que Vous me
témoignez, les souffrances que Vous avez endurées pour me racheter, je
reste éblouie : Vous dissimulez, en effet, Votre inconcevable majesté et
daignez Vous abaisser jusqu'à une créature aussi misérable que moi...
O
Roi de gloire, bien que Vous dissimuliez Votre grandeur, je déchire au
fond de mon âme le voile de ce mystère et je vois les chœurs des anges
Vous rendre sans cesse leur hommages, j'entends les Puissances célestes
Vous glorifier continuellement, en chantant : Saint, Saint, Saint !
Qui
est capable de concevoir l'amour et la Miséricorde infinie, que Vous
nous témoignez ? O Esclave d'amour, j'enferme mon pauvre cœur dans ce
Tabernacle, pour pouvoir incessamment Vous adorer nuit et jour.
Rien
ne m'empêchera : même si, physiquement, je suis loin, mon cœur sera
toutefois près de Vous. Il n'existe pas de barrière ni d'entrave à
l'amour.
C'est
pourquoi, ô mon bon Jésus, je Vous consolerai sans cesse des blasphèmes
proférés par Vos ennemis, de la haine que Vous portent les athées, de
la froideur que vous témoignent Vos amis, et aussi des sacrilèges commis
par des âmes choisies.
O
Jésus invisible, je désire me consumer devant le Trône de Votre
miséricorde comme la lampe-veilleuse, où brûle et se consume une huile
pure, qui luit dans les ténèbres, Vous console dans l'abandon, réchauffe
les cœurs glacés, pour tous ceux qui vous oublient d'une façon si
ingrate...
O
indivisible et Sainte Trinité, Dieu unique -je désire de tout cœur- que
Vous soyez bénie et louée éternellement pour cet inconcevable don de
l'amour sacramentel, et pour nous avoir légué Votre miséricorde
inépuisable !
O
Jésus, qui êtes le pain de vie (Jean 6, 35), pour toutes les insultes
faites à Votre égard et pour obtenir le pardon de Votre majesté, je
souffrirai désormais sans murmure et en me soumettant à la Volonté
Divine tous les avertissements, épreuves, croix et humiliations, pour
pouvoir ainsi, du moins partiellement, compenser l'ingratitude que Vous
témoignent tant de cœurs humains.
Et
au fond de mon âme, je ne cesserai désormais de chanter un hymne
d'action de grâces, de louange et d'amour à la gloire de mon Créateur,
mon Sauveur et mon Bienfaiteur.